Alors. Ce qui me plait dans ce look, c'est avant tout la coiffure (Et je veux cette couleur de cheveux!!!!). Bien que ce soit le genre de coiffure qui ne m'ira probablement jamais étant donné la forme surhumaine de mon visage (Non, je ne suis pas la fille cachée de Grishka Bogdanov). J'aime aussi les détails du sac. Bon, en fait, ils me font penser à une armoire très ancienne..

Je suis une inconditionnelle du street style donc cette catégorie servira en quelque sorte d'album photos où se trouveront les looks que j'aime le plus. Et pour ce premier post, j'ai choisi Harajuku, à Tokyo.

Il y a des choses que je ne peux tolérer. Mais vraiment.

• Les textos/lettres/mails avec des mots en abrégés. Je ne me prononcerai pas sur le ridicule du fait.
• Les gens qui vous bousculent dans le métro car ils sortent à la prochaine station. Je relèverai également les personnes qui prennent le métro pour une station, qu'est-ce que le fuck ?!
• Toujours dans le métro, les vieux aux heures de pointe. Bon, là, je me confesse. C'est l'unique moment où ils côtoient du monde, autrement il passent leur temps à rater leur vie et à commérer entre vioques.
• Les sacs à dos. J'en viens presque à me demander qui en est l'inventeur...
• Les boloss qui appuient frénétiquement sur la bouton d'ouverture de la grille (automatique, qui plus est) du lycée. Est-il nécessaire d'exprimer le pathétisme du phénomène ?
• Les gens qui expliquent leurs blagues. Oui pire, les gens qui ont besoin qu'on leur explique nos blagues.
• La liste est trop longue.

Autant l'avouer, la Nintendo DS (NDS pour les geeks) est bourrée de jeux pseudos-intellectuels censés faire travailler le cerveau. A en voir plein les rayons, on frôle l'overdose. Je passerai volontiers au-dessus des Dr Kawashima et compagnie, aux graphismes médiocres et au fun égal à une cacahuète coincée derrière le réfrigérateur.
Je me rappelle avoir téléchargé ce cher Kawashima dès avoir reçu ma SD Card. Et l'avoir supprimé quelques heures après. Il faut dire que je n'avais pas bien encaissé d'avoir 80 ans d'âge mental, et ceci, même en trichant aux évaluations. C'est alors que j'ai découvert mon ami Layton, en feuilletant mon magasine de Kikoolols favoris : Tchô!. En tant que fervente geek, je me suis empressée de le googler. Les graphismes et le contexte étant convaincant, je m'y suis attaquée.

Principe du jeu...

Professeur Layton et l'étrange village est un jeu d'énigmes, alors oui, il va falloir réfléchir (Ce qui n'est pas donné à tout le monde.). Parfois même faire appel aux mathématiques. Cependant, ne vous méprenez pas, il ne s'agit pas de casse-tête mais de logique (Ok, j'avoue avoir parfois pété un steak en ne trouvant pas la réponse, malgré les indices.).
Mais ce qui fait la différence de jeu « cérébral », c'est tout son univers...

Le jeu s'ouvre en dessin animé et voix (Chinoise sous-titrée pour moi. Et oui, Rom-NDS n'est pas toujours fiable..) et dès lors, on sent qu'on a affaire à un jeu haut de gamme. La séquence cinématographique est superbement animée, on pourrait presque croire à un anime d'Hayao Miyazaki. On est loin du typée manga et plus judicieusement axé vers les Triplettes de Belleville.

Le professeur Layton, qui ne quitte jamais son haut de forme, a un penchant pour la résolution d’énigmes tordues. Il a entendu parler d’un étrange village qui recèle un mystère spécial tournant autour d’un objet appelé «La pomme d’or». Accompagné de son jeune compagnon, Luke, il s'en va dans ce curieux village et découvre que celui-ci est habité par des gens obsédés par les énigmes et renferme de nombreux secrets.
Les villageois étant friands d'énigmes, toute la trame du jeu se basera sur leur résolution afin d'avancer dans l'histoire. Celles-ci sont diverses, elles consistent en puzzle, logique, parfois même mathématiques.

L'histoire morbide et douce, impliquant des meurtres, des kidnappings, des personnages maléfiques encapuchonnés, des tours mystérieuses et des trésors cachés, sert de cadre à un ensemble de superbes énigmes à bien vous exciter les neurones.
Tout se joue au stylet. Vous explorez des décors et changez de lieu, et vous fouillez minutieusement chaque décor pour trouver des «pièces d’indices» cachées et des énigmes secrètes (Qui sont, en général, les plus compliquées). Ces pièces de monnaie vous serviront pour acheter des indices lorsque vous bloquerez dans la résolution d'une énigme. Vous vous doutez bien que j'ai eu recours à ce système à chaque énigme (Ce jeu n'est donc pas conseillé aux personnes possédant un QI de moins de 350544878.)
Les énigmes se résolvent aussi au stylet et l’on vous demande souvent de dessiner à l’écran, d’entourer un objet, ou d’entrer des nombres (Trop cool, on peut recommencer à l'infini donc jouer sur le hasard, hahahaha) et des mots via un système de reconnaissance d’écriture (Je dois probablement écrire comme une truie puisqu'il ne comprends pas souvent les chiffres que j'écris..).

Vous progressez donc dans la ville à la manière du Click&Play : vous cliquez sur les portes, gens, objets, pour interagir avec eux, donc, rien a voir avec les jeux « cérébraux » habituels vous faisant enchaîner les exercices censés vous rendre plus intelligente comme dans un abattoir.

Bref. Pour plus de plaisir à y jouer, je ne vous dévoilerai pas l'histoire du jeu. Je ne l'ai, de toute façon, toujours pas fini, étant visiblement trop niaise pour réussir les énigmes sans tricher (Et même en trichant, c'est dire mon taux de nullité.).

Ce que j'en pense...

Graphiquement, il n'y a aucune fausse note. On a affaire à un jeu aux graphismes d'une qualité remarquable, ce qui est assez rare sur NDS.

Toujours pour comparer avec les habituels jeux de logique qui n'ont pas de but et donc, avec lesquels on s'ennuie rapidement...Ici, c'est tout le contraire. Avec son système d'énigmes, le jeu est vraiment prenant et ludique. De plus, les quêtes optionnelles, comme le chien robot ou l'hôtel (Dans l'autre jeu) donnent un entrain en plus. Et la possibilité de télécharger des énigmes via la Wifi NDS est appréciable (Chose que je ne ferai jamais, cela va de soit).

Un défaut peut-être ? Euh, oui. Si vous êtes complètement déficient mentalement, il est préférable que vous ne vous lanciez pas dans ce jeu qui fait vraiment appel à la réflexion. Dirigez-vous plutôt vers quelque chose d'adapté à votre QI, comme Adibou à la découverte du corps humain. (Je l'ai testé aussi et il y a des trucs que je n'ai même pas compris, xptdr mdr xD lolilol.)

Soyons francs, j'ai des défauts. Comme je n'arrête pas de dire que je suis la fille parfaite, j'ai décidé de vous dire la vérité, toute la vérité, seulement la vérité, rien que la vérité,  dîtes je le jure.

Donc oui, j'ai des défauts. Je ne peux pas vous dire que je suis une merde au Scrabble, vous le savez déjà (Eh oui, les mots « Prout » et « Youpala » ne sont malheureusement pas autorisés...). J'ajouterai aussi que je suis une brêle en maths, et ce, depuis ma naissance. C'est prouvé scientifiquement (comme Actimel) : Dès que l'on me parle de Thalès ou autres déséquilibrés, mon cerveau part vagabonder dans de vastes prairies. Me faire revenir à la réalité est très dur.

Je tourne la page très vite. Si je suis déçue par une personne, je l'oublie, un point c'est tout. Je n'ai pas de situation de manque, je ne pense même plus a cette personne, elle est rayée de ma (fascinante) vie (très remplie), tout simplement. A tout bien y réfléchir, ceci n'est pas forcément un défaut (?)..

Je ne suis pas fidèle. Loin des yeux, loin du cœur.

Je me lasse vite. Très vite. Dans tous les domaines. En amitié, c'est différent. Mais cela car je suis amie avec des gens qui savent me surprendre et qui sont tout aussi passionnants que moi.

Je suis directe. Si quelqu'un m'énerve, il le comprend rapidement. Le problème, c'est que souvent, je lance des piques cyniques aux personnes qui m'énervent, et qui du coup, pensent que je fais ca parce que justement je les aime bien (Qu'est-ce que le fuck ?). Mais non, le dicton « Qui aime bien, châtie bien » ne s'applique pas ici. Je te châtie et je t'entube.

Je serai illogique. Remarque totalement inutile de mon point de vue, mais visiblement pas de celui de mes « professeurs ».

Je ne suis jamais réellement sérieuse. Le dernier exemple que j'ai en date est mon oral du Bac Français. A la question « Vous avez utilisé le mot Torpeur, que cela signifie-t-il selon vous ? ». Destabilisée par une telle question (Je n'ai fais que déblatérer machinalement mon cours, hahaha), je n'ai su répondre que « Euh... C'est une taupe. Qui a peur. :hap: ». Je vous laisse le soin d'imaginer la tête du petit chauve qui me faisait passer l'entretien. Aussi, j'ai répondu que Baudelaire était drogué. Cela ne lui a pas vraiment plu non plus...

Je suis ultra matinale. Ce qui est plus dérangeant pour les autres que pour moi (Cf argument ci-dessous).

Je ne sais pas être discrète. (Vous comprenez mieux.)

Le tour de mes défauts étant terminé (oupas), je peux à présent aller me tirer une balle.